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De Bardouville à Berville-sur-Seine, une randonnée en deux boucles pour cette journée dite « continue »  dans un des méandres du fleuve.

 

 

Mettre un pied devant l’autre et recommencer, c’est bien …  Mais c’est aussi l’occasion de s’intéresser aux lieux traversés.

La première boucle a pour point de départ Bardouville. Située au cœur de la Seine-Maritime, cette commune est un véritable bijou de la région Normandie. Ancien village de pêcheurs, ce lieu séduit par son ambiance rurale et son cadre enchanteur, où la Seine offre des paysages variant au gré des saisons.

En pénétrant dans le cimetière une vue imprenable sur le fleuve et l’Abbaye de Saint Martin de Boscherville.

 

L’église St Michel du XI ème siècle puis remaniée jusqu’au XIX ème, localisée à proximité du château invite à la considérée comme l’héritière d’une chapelle castrale. A l’intérieur une belle maquette « La Joséphine » déposée en ex-voto qui témoigne de la présence importante de nombreux marins sur la Seine.

 

Le Corset Rouge

 

 

Édifié sans doute dés la fin du XVII ème siècle ce château doit son nom à une légende contant les amours adultères de la châtelaine avec un moine de l’Abbaye Saint Martin de Boscherville à l’époque de Guillaume Le Conquérant.

( Pourquoi ce nom de  "Corset Rouge" : les légendes en annexe)

 

Un peu plus loin un chêne monumental au tronc court dit « Chêne des lacs » se dresse le long du parcours.
Daté de 1650, il est classé comme arbre remarquable.
Plusieurs traditions locales tentent de donner une explication à son nom. Sans doute une déformation du mot « leux », loups, ce qui lui donnerait le sens de chêne des loups.

 

 

Cette explication, souvent admise, méconnaît toutefois la tradition populaire selon laquelle les habitants se réunissaient autour de l'arbre pour danser ; la terre y était alors tellement piétinée à la belle saison qu'elle serait devenue imperméable aux pluies d'automne : l'eau non absorbée par le sol aurait formé une grande flaque semblable à un lac d'où émergeait le chêne ; il en aurait reçu le nom. … À vous de choisir !

 

À repérer sur la route, cette maison du XIX ème siècle élevée en brique.
Sur la façade ornée d’une croix, une niche abrite une Vierge à l’Enfant

 

Petit intermède au restaurant l’Annevillais pour reposer … les chaussures !

 

Bien restauré, départ de  Berville pour une seconde boucle.

Cette petite commune habitée par environ 550 Bervillaises et Bervillais s’est installée dans ce méandre où la seine se prélasse et prend son temps…
Les premières traces laissées par l'homme remontent à l'âge de bronze et ont été découvertes  près du "Haridon" (lieu-dit sur le chemin)

Des objets de la période gauloise (sépultures, vases, pièces de monnaies…) révèlent une occupation durable.
L'origine du nom Berville, nom d'origine germanique ou scandinave, laisse à penser que aux IXème et Xème siècles les vikings remontant la Seine à bord de leurs drakkars y auraient débarqué.
Plus tard vers 1212, le nom de la commune devient Bervilla super secanam.

Berville sur Seine est un territoire en partie conquis sur le fleuve grâce à de gigantesques travaux d'assèchement qui permirent, en 1841, de transformer 150 hectares de marais en de magnifiques prairies.
Bien sûr, l'omniprésence de l'eau a favorisé le développement d'une biomasse spécifique servant de nourriture à de nombreuses espèces d'oiseaux faisant de Berville sur Seine un site d'une grande richesse écologique.
Mais l'eau a aussi imposé une contrainte humaine : le village s'est développé tout en longueur en bordure de la zone non inondable.

 

On trouve trace de l'Eglise  dans un écrit de 1172 sous le nom de « Sancte Maria de Bervilla ». Sa localisation est inconnue mais elle devait se trouver à la place de l'édifice actuel datant du XVème et XVIème siècle. L'église est placée sous la protection de la Vierge et de Saint Lubin. Au fil du temps le second patron de la paroisse est devenu le plus usité si bien qu'aujourd'hui on parle de l'Eglise Saint Lubin de Berville sur Seine.

Le magnifique damier de briques et de pierres ainsi que le clocher datent de 1869 et l'on doit le projet à l'architecte rouennnais : Charles Barre .

 

Dans le chœur, les vitraux datent environ de 1470 et présentent beaucoup de similitudes avec certains vitraux de la cathédrale de Rouen provenant de l'atelier Guillaume Barbe. Ils sont classés monuments historiques depuis 1935.

En bord de Seine la  petite chapelle  Saint Joseph  construite par M Joseph de Piquefeu, auditeur en la Cour des Comptes  dans son domaine de l'Isle le Roy.

Au dessus de la porte une inscription de "1719"

                               Manoir du passage de la Fontaine
L'ancien passage d'eau de la Fontaine dépendait autrefois des seigneurs d'Ambourville puis il devint une annexe pour celui de Duclair. Vers 1830 il fonctionne une seule fois par an le dimanche pour le pélérinage de sainte Anne à la Fontaine.

Le Manoir du Pré Thorin

Une belle journée en perspective organisée par Bernard (Dupressoir) sur une idée de Martine (Cavelier)

Laurent et Odile         14 octobre 2025

Les légendes du Corset Rouge

 

Le seigneur du lieu, Bertrand de Bardouville, rapporte le récit, revenant d'Angleterre où il avait combattu aux côtés du duc Guillaume, s'installa dans le château de ses ancêtres et épousa Yolaine de Montigny. Il repartit guerroyer quelques années plus tard en confiant son épouse esseulée à Don Raphaël Capelli, prieur de la toute proche abbaye Saint-Georges de Boscherville. Chargé de veiller sur elle, il prit l'habitude de traverser la Seine sur une barque pour se rendre au château et prodiguer des soins, grâce à ses connaissances médicales, au jeune fils de Bertrand et Yolaine de Bardouville. Une autre version stipule que c'est à la demande de Bertrand que le prieur se rendait chaque jour au château pour y dire une messe.

 

Les traditions diffèrent alors. Celle de l'abbé Etienne, assez chaste, rapporte que la belle Yolaine prit l'habitude de hisser une étoffe de couleur rouge, le fameux corset, au sommet de l'une des tours du château. Ce signal était destiné à demander au prieur de venir soigner au plus vite l'enfant malade. Le vêtement finit par attirer l'attention des mariniers voguant en contrebas qui auraient, avec grivoiserie, fait courir des ragots infamants, amplifiés au fil de leurs voyages. Revenant de ses campagnes, le bouillonnant Bertrand eut vent de cette rumeur. Il se rendit au château où il surprit son épouse en compagnie du prieur. Outragé, il les tua.

 

Plus leste, la tradition populaire assure que le prieur séduisit la belle esseulée et que le corset attaché au sommet d'une tour était le signal convenu entre les deux amants pour se rejoindre…surpris par le retour de Bertrand de Bardouville, les amants n'échappèrent pas à sa fureur. Le prieur succomba sous les coups d'épée et son sang vint rougir le corset. Le chevalier le hissa alors en haut d'une tour pour montrer que justice avait été faite. Il obligea ensuite son épouse volage à porter, en signe de repentir, le corset maculé du sang de son amant

 

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