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LES DESSOUS DE L'HISTOIRE

 LA  GARDE-ROBE DES FRANÇAISES
Pendant l’occupation

 

 

Le sucre de betterave ou la chicorée ne sont pas les seuls ersatz utilisés pendant l’occupation allemande. En juillet 1941, lorsque la pénurie de tissus atteint la capitale du fait de la réquisition des usines textiles de la région parisienne ou de Normandie par l’armée ennemie, les premiers tickets de textile apparaissent. La vie des Parisiennes va changer.

Pour contrer la pénurie, on réglemente la fabrication des vêtements : la fougère doit entrer dans la composition des textiles, les poils de lapin, les crins d’acétate et même les cheveux doivent être utilisés, selon un décret de mars 1942 qui en ordonne la récupération !  On utilise les vieux rideaux pour tailler les vestes et on interdit de créer des chaussures montantes. Enfin, on découvre les vertus du lanaté, un tissu à base de fibranne et de poil de lapin, censé remplacer la laine. Mais son exploitation se révèle peu avantageuse tant l’ersatz miracle s’abîme dans l’eau

LES DROLES D'EXPRESSIONS
 

NE PAS SE MOUCHER DU PIED (OU DU COUDE)

Ne pas se prendre pour n’importe qui.

Il y a une foultitude d‘explications sur la provenance de ces deux formules, s’utilisant indifféremment. Au XVIème siècle, après avoir mouché des chandelles pour les éteindre, on s’est mis à moucher des imbéciles « du pied », comme on les piétinerait. En gros, on les entourloupait sans peine. Puis, celui qui « ne se mouchait pas du pied » est devenu l’homme de la situation, celui qu’on ne pouvait berner. Un siècle plus tard, il gagnait encore en stature et droiture par opposition aux saltimbanques contorsionnistes capables de se mettre les orteils sous les narines pour faire rire leur public. Ce qui est tout le contraire d’un comportement sérieux.

Avant que les Kleenex ne soient inventés, les gueux se mouchaient dans leur manche- la manière dont on en est arrivé au coude reste floue – alors que les personnes aisées possédaient un mouchoir. « Ne pas se moucher du coude » est devenu synonyme d’élite, et comme il est toujours bon de les railler, l’expression a pris un tour péjoratif pour désigner les crâneurs.

IL Y A DE L’EAU DANS LE GAZ

Une dispute pourrait éclater

De l’eau dans le gaz, de l’huile sur le feu, être comme l’huile et l’eau…. Les phénomènes physiques et chimiques ont leur place dans la grande famille des expressions françaises. Si vous avez des plaques électriques dans votre cuisine, cette formule d’ « eau dans le gaz » ne doit pas vous évoquer grand-chose… Lorsque, fin du XIXème siècle, début du XXème siècle, le gaz de ville s’est démocratisé dans notre pays, le gaz de houille utilisé était à forte teneur en vapeur d’eau. Il se développait parfois des poches d’eau qui obstruaient les canalisations en plomb. Il y avait réellement de l’eau dans le gaz. A l’arrivée, le réchaud de la ménagère n’était plus alimenté en raison de ce phénomène. Si le gaz reste allumé sans flamme, attention, cela peut provoquer une explosion ! L’historien du langage Claude Duneton avance que ces pannes déclenchaient des disputes dans les chaumières car monsieur n’avait pas son repas dans les temps. L’expression a dépassé le cadre domestique pour s’étendre jusqu’aux relations internationales.

LES DESSOUS DE L'HISTOIRE

LE BERET, pas si basque !

A l’étranger, le stéréotype du Français est un homme portant un béret, une baguette de pain sous le bras et un litre de rouge à la main. Cette représentation fictionnelle provient entre autres des autoportraits de l’artiste Quentin de La Tour, sur lesquels il apparaît vêtu d’une redingote et coiffé d’un béret basque. C’est ce cliché qui a été repris dans nombre de dessins humoristiques à l’étranger, notamment en Angleterre et aux Etats-Unis. Mais le béret basque est-il réellement basque ?

Quentin de Latour
(1704-1788)  Autoportrait

LES DESSOUS DE L'HISTOIRE

Eh non, le béret n’est pas basque mais bien …béarnais !  Et ce sont les bergers des Pyrénées de la fin du Moyen Âge qui l’ont inventé. Tricoté avec la laine de leurs moutons, le béret était foulé au pied de longues heures durant pour lui donner sa structure souple et déformable. Mais les Béarnais n’ont pas la bougeotte, et ce sont les Basques, grands voyageurs, qui ont popularisé l’accessoire… en se l’attribuant ! Le béret a fait le tour des cabarets parisiens où se produisaient les chansonniers et poètes basques et fit bientôt fureur. Il devint l’incontournable attribut des soldats, des maquisards, puis des révolutionnaires du monde entier.

Pierre Epineuse

Rosa Bonheur
(1822-1899)

LES DROLES D'EXPRESSIONS
C'EST UN NAVET le mauvais film par excellence

Du latin napus, le navet est une plante potagère de la famille des crucifères dont on consomme la racine. Gorgé d’eau, riche en fibres, il est peu calorique. S’il est bon pour la ligne, le peu d’énergie qu’il fournit, associé à la couleur pâlichonne, limite translucide, à conduit à le dévaloriser.

Pas besoin d’un doctorat en médecine pour comprendre que si vous avez du sang de navet qui vous coule dans les veines, l’anémie menace. L’argot en a fait poétiquement une « fleur de nave » pour désigner un cave, quelqu’un de pas très futé.

L’art y a vu des œuvres de mauvaises factures, la peinture, des croûtes et le cinéma, des films ne valant pas tripette. C’est ce dernier sens qui prévaut aujourd’hui – sans doute parce que la liste est longue.

 

L’acteur Jean Richard (une des figures mémorables du commissaire Maigret) avouait en avoir tourné quelques-uns pour alimenter ses autres passions : le zoo d’Ermenonville, au nord de Paris, et les cirques qui portaient son nom.  Conscient de sa carrière inégale sur grand écran, il disait non sans humour être « le seul homme à nourrir des lions avec des navets ».

Pierre Epineuse

LES DROLES D'EXPRESSIONS
UN CHARLATAN, UN IMPOSTEUR   ?

Le français le plus courant a fixé quelques idées reçues, pour preuve le charlatan. On dit les Italiens baratineurs, on les brocarde parlant avec les mains. Eh bien, ce camelot est l’un des leurs.

Charlatan est une sorte de mot-valise composé du verbe ciarlare (« parler avec emphase ») et de Cerratano, habitant du village de Cerreto, connu pour la vente de drogues sur les marchés au XVIème siècle.

Ancêtres de la publicité mensongère, ces poudres de perlimpinpin étaient parées de vertus miraculeuses. Tout l’art du bonimenteur consistait à abuser de la confiance des clients, en les noyant sous un flot d’arguments pseudo-savants.

Depuis qu’on ne vend plus ce genre de produits sur les foires, les escrocs n’ont pas disparu, ils se sont convertis en gourous, guérisseurs, experts autoproclamés, imposteurs de tout poil.
Pierre Epineuse

LES DESSOUS DE L’HISTOIRE
A QUI DEVONS-NOUS LE DRAPEAU TRICOLORE ?

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Cet emblème est issu de la cocarde révolutionnaire, dont le blanc symbolisait la France (et non la royauté), tandis que le bleu et le rouge étaient les couleurs de Paris. Il a d’abord été le pavillon de la monarchie constitutionnelle (1790 – 1791), puis de tous les régimes jusqu’à la chute de Napoléon.

Sous la Restauration, c’est le drapeau blanc qui a été à nouveau hissé. Le drapeau tricolore nous est définitivement acquis depuis la Monarchie de juillet 1830. Même Pétain ne l’a pas remis en cause.

En 1848, le peuple parisien est déterminé à faire tomber le gouvernement. L’insurrection commence dans les quartiers populaires de la capitale, et les barricades s’élèvent les unes après les autres. A l’hôtel de ville se forme le gouvernement provisoire qui se pose la question : drapeau tricolore ou drapeau rouge ?

 C’est Alphonse de Lamartine qui évite que le rouge s’impose. Au cours d’une célèbre harangue à la foule, il explique que le drapeau tricolore « a fait le tour du monde avec la République et l’Empire, alors que le drapeau rouge n’a fait que le tour du Champ-de-Mars dans le sang du peuple ».

Si la France est aujourd’hui une république, c’est aussi parce qu’Henri comte de Chambord, qui aurait dû devenir roi en 1871, a refusé d’accepter bleu-blanc-rouge alors qu’il était devenu un acquis pour la populati.on.

Pierre Epineuse

LES DESSOUS DE L’HISTOIRE
Henri IV boit la tasse

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En cette belle journée d’été, comme à l’accoutumée, Henri IV et Marie de Médicis quittent le château de Saint-Germain-en-Laye, leur lieu de résidence favori, où tous les enfants légitimes et illégitimes sont regroupés dans la « nurserie » du Vert-Galant. 

Le cortège d’Henri IV s’apprête à traverser la Seine au niveau de Neuilly où l’attend un bac. Le drame se joue en quelques secondes…

Henri IV et Marie de Médicis décident de demeurer dans le carrosse pendant le franchissement du fleuve. Soudain, les deux derniers chevaux, tirant trop sur le côté, tombent à l’eau, entraînant la voiture derrière eux : le roi et la reine échappent à la noyade in extremis, surtout la reine, que l’un des valets saisit par les cheveux pour lui maintenir la tête hors de l’eau.

Mais le plus comique, c’est que lorsque tout danger est écarté, l’escorte qui accompagne le couple royal se jette dans la seine pour éviter les remontrances du roi. Et c’est ainsi qu’un pont sera construit à l’endroit de l’accident.

Pierre Epineuse

La barbe une mode de balafrés

 

Le 6 janvier 1521, François 1er est à Romorantin. Avec ses compagnons, il simule l’attaque de l’hôtel du comte de Saint-Paul. Soudain, un tison enflammé passe par une fenêtre, jeté par l’un des faux assiégés, le capitaine de Lorges, sieur de Montgomery. Atteint par la flèche, le roi tombe dans le coma. Est-ce la fin ? Non. Et c’est même le début d’une mode.

François 1er est grièvement blessé. Il perd même connaissance pendant plusieurs jours. Solide, il se remet en quelques semaines et repart en campagne. Mais le voilà affublé d’une vilaine cicatrice au menton. Il a alors l’idée de faire pousser sa barbe, lançant ainsi une nouvelle mode à la cour, qui durera jusqu’au règne de Louis XIII.

   Et toujours dans l’actualité du vingt et unième siècle ! ....

Pierre Epineuse

BAL Espace Saint Exupéry 76240
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