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En 900 environ, un oratoire s’installe : il porte le nom de Saint Michel. Il comporte une chapelle et quelques bâtiments.
Une charte remontant au 11ème siècle fait apparaître une première mention de la commune située sur le plateau sous le nom de « Blovilla » (Blosseville), et pour celle située en bord de Seine de « Merdepluet » (Eauplet), et de l’Abbaye de la Sainte-Trinité-du-Mont-de-Rouen.
« Blovilla », c’est le domaine rural (villa) du vent (blo) tandis que « Merdepluet » est une allusion à un secteur insalubre.
De 1793 à 1797, la ville prend le nom de Blosseville la Montagne, puis de 1797 à 1959 Blosseville-Bonsecours et enfin, depuis 1959, Bonsecours (secours étant pris dans le sens d’intervention, d’auxilliaire, les habitants sont des Bonauxiliens).
Vers 1030, Eauplet appartient aux religieuses de Montvilliers. L’endroit est un marécage insalubre, nauséabond et de mauvaise allure qui lui fait donner le nom de « Merdepluet ».
L’endroit est remblayé pour le rendre habitable. Une petite population s’installe et c’est la 1ère agglomération. Petit à petit, le quartier abrite des entreprises familiales de verrerie, orfèvrerie et poterie … Entre 1844 et 1847, le « Pont aux Anglais » s’y construit et les industries s’y développent. Vers 1900, c’est la « zone industrielle » de Bonsecours.
A partir de 1900, la ville de Bonsecours prend son essor sur le plateau.
Aujourd’hui, la ville de plus de 7000 habitants est une commune dynamique qui offre à ses habitants écoles, commerces, loisirs, etc …